Gratuit pour les lecteurs, oui, mais payant pour les auteurs. C’est le principe du système des article processing charge (APC), qui prend de plus en plus d’ampleur. Certains éditeurs sont des organisations à but non-lucratif, d’autres sont à but uniquement lucratif… D’autres modèles sont discutés aujourd’hui chez les éditeurs, comme en témoigne une employée de PLOS. Parmi de nombreuses alternatives, une organisation collaborative entre les éditeurs et les institutions est évoquée. D’ailleurs, Research England vient de mettre 2 millions de livres sur la table pour aider les petites structures d’éditions se lançant dans le libre accès. Et le peer review 100% gratuit, c’est possible ? Presque ! Un exemple : le journal Atmospheric Chemistry and Physics, géré par la communauté scientifique, propose la publication d’articles pour moins de 100 euros par page, avec en plus un peer reviewing transparent. |
Quand les labos tentent de réduire le plastique
Pipettes, boîtes de pétri, tubes à essai, gants… C’est une poubelle entière que Juliette Rosebery et son équipe ont rempli suite à une série de manip’. Habituée au verre, cette hydrobiologiste avait été choquée de la quantité de plastiques à usage unique utilisés «...