C’était évidemment un canular que le chercheur Reese Richardson a monté l’été dernier. S’inspirant des techniques d’entreprises peu recommandables promettant de faire exploser votre nombre de citations sur Google Scholar (relire notre analyse sur le sujet). Il a ainsi créé de faux articles sur lesquels il a apposé le nom de son chat Larry, puis les a déposés sur la plateforme ResearchGate, attendant qu’ils soient analysés par l’outil de Google. S’il parlait, Larry Richardson aurait donc pu se vanter de posséder un h-index de 11. Avant que Google et ResearchGate ne rectifient le tir, notamment suite à la couverture par Science. Cela mérite bien une croquette, non ?
Splatatouille
Ce trou suscite de nombreuses interrogations depuis une grosse vingtaine d'années chez les habitants de Chicago. Quel animal a-t-il donc pu laisser cette ombre chinoise un peu funeste ? La science a répondu : "Splatatouille" n'est pas un rat mais d'un écureuil,...
