Felis domesticus scholasticus

— Le 7 février 2025

C’était évidemment un canular que le chercheur Reese Richardson a monté l’été dernier. S’inspirant des techniques d’entreprises peu recommandables promettant de faire exploser votre nombre de citations sur Google Scholar (relire notre analyse sur le sujet). Il a ainsi créé de faux articles sur lesquels il a apposé le nom de son chat Larry, puis les a déposés sur la plateforme ResearchGate, attendant qu’ils soient analysés par l’outil de Google. S’il parlait, Larry Richardson aurait donc pu se vanter de posséder un h-index de 11. Avant que Google et ResearchGate ne rectifient le tir, notamment suite à la couverture par Science. Cela mérite bien une croquette, non ?

À lire aussi dans TheMetaNews

Autocitation dans l’œuf

Un papier peut-il s’autociter ? La réponse est oui. Les chercheurs allemands Robin Haunschild et Lutz Bornmann ont trouvé près de 50 000 publications s’autocitant, notamment dans les conclusions, une partie provenant d’erreurs dans la base de données Web of Science....

Goguenard en cuisine

Comment réaliser le meilleur plat avec un budget de 5 euros et le minimum de matériel ? Bienvenue aux Crous d'or, organisé par l'Académie de Reims, dont la finale se déroulera le 05 avril prochain, nous rappelle Le Parisien. Au menu notamment : gnocchi de poireaux...

Motchus et bouche cousue

Nous connaissions le jeu télévisé Motus et bien il existe maintenant une version en parler marseillais ou provençal. Le principe reste le même : un nouveau mot à deviner tous les jours. Attention, il semblerait que certains en soit devenus complètement "fadas".