Felis domesticus scholasticus

— Le 7 février 2025

C’était évidemment un canular que le chercheur Reese Richardson a monté l’été dernier. S’inspirant des techniques d’entreprises peu recommandables promettant de faire exploser votre nombre de citations sur Google Scholar (relire notre analyse sur le sujet). Il a ainsi créé de faux articles sur lesquels il a apposé le nom de son chat Larry, puis les a déposés sur la plateforme ResearchGate, attendant qu’ils soient analysés par l’outil de Google. S’il parlait, Larry Richardson aurait donc pu se vanter de posséder un h-index de 11. Avant que Google et ResearchGate ne rectifient le tir, notamment suite à la couverture par Science. Cela mérite bien une croquette, non ?

À lire aussi dans TheMetaNews

Number one de la citass’

Devinerez-vous combien de citation a reçu le papier le plus cité au monde ? Publié en 1951 dans le Journal of Biological Chemistry, l’article décrit une nouvelle méthode pour mesurer la quantité de protéines dans une solution. Il a été cité, tenez-vous bien… plus de...

Le chat du labo

Se prélassant au soleil sur le parking du labo, non loin de son assiette de croquettes toujours remplie, elle vient vous voir pour une caresse quand vous passez devant. Recueillie il y a des années, Idrissette est devenue un des emblèmes du labo dont elle porte le...

En un mot comme en cent

On a découvert Cemantix à la rédaction il y a quelques jours. Le principe ? Deviner un mot par jour en tentant de le deviner grâce à son champ sémantique : vous êtes chaud si vous approchez, froid si vous vous éloignez. Simple, funky, addictif. Hasard du calendrier,...