Plus que 89 secondes avant minuit, nous disent les atomistes. En effet, tous les ans, le Bulletin de ces scientifiques étasuniens avance ou recule la « Doomsday clock » au nom très évocateur d’une apocalypse. C’est une seconde moins que l’année dernière, ça ne va donc pas en s’arrangeant.
Au tour des chimistes
Après un clin d'œil pour les physiciens, on enchaîne avec une boutade qui fera souffler les chimistes — mais pas que — par le nez devant leurs écrans.