Et la réponse est : depuis le 1er mars dernier. Quelque soit son nom, le “contrat de projet scientifique” ou plus prosaïquement “contrat de chantier” (même si la ministre n’aime pas le terme) est officiellement en place depuis sa parution au Journal officiel dans les instituts de recherche, les universités, etc… Bref toute la fonction publique. Voici déjà les grandes lignes de cette disposition : – Le contrat a une durée maximale de six ans ; – Il peut être rompu par l’employeur après un an si le projet ne peut se réaliser ou est atteint ; – En cas de rupture, une indemnité correspondant à 10% des rémunérations totales est versée. Et si vous voulez relire les deux premiers volets de notre enquête “Sauvadet&Moi”, les voici : La parenthèse enchantée et Le grand gâchis. |
Les deux visages de Patrick Hetzel
C’est fait : après un trou d’air gouvernemental de presque deux mois, la rue Descartes a un nouveau locataire. Ou plutôt deux, puisqu’aux côtés de Patrick Hetzel, nommé à l’Enseignement supérieur et à la recherche, Clara Chappaz, ex directrice de La French Tech, s’est...