Et la réponse est : depuis le 1er mars dernier. Quelque soit son nom, le “contrat de projet scientifique” ou plus prosaïquement “contrat de chantier” (même si la ministre n’aime pas le terme) est officiellement en place depuis sa parution au Journal officiel dans les instituts de recherche, les universités, etc… Bref toute la fonction publique. Voici déjà les grandes lignes de cette disposition : – Le contrat a une durée maximale de six ans ; – Il peut être rompu par l’employeur après un an si le projet ne peut se réaliser ou est atteint ; – En cas de rupture, une indemnité correspondant à 10% des rémunérations totales est versée. Et si vous voulez relire les deux premiers volets de notre enquête “Sauvadet&Moi”, les voici : La parenthèse enchantée et Le grand gâchis. |
Quand ChatGPT tient la plume
Écrire vos publis avec l’aide de ChatGPT ? Certains jetteront des regards outrés mais le fait est que la pratique se répand dans la littérature scientifique. Un an et demi après le lancement de l’intelligence artificielle (IA) générative par l’entreprise OpenIA, les...